Martinez n°12 2014/2015
Martinez n°12 2014/2015
  • Prix facial : gratuit

  • Parution : n°12 de 2014/2015

  • Périodicité : annuel

  • Editeur : O2C

  • Format : (240 x 330) mm

  • Nombre de pages : 112

  • Taille du fichier PDF : 12,6 Mo

  • Dans ce numéro : spa, un soin révolutionnaire.

  • Prix de vente (PDF) : gratuit

Dans ce numéro...
< Pages précédentes
Pages : 30 - 31  |  Aller à la page   OK
Pages suivantes >
30 31
nColin Firth et Julianne Moore dans « A single Man », de Tom Ford ovembre 2012 : la planète beauté apprend que L’Oréal Paris compte une nouvelle égérie. Son nom ? Julianne Moore. Une quinqua resplendissante qui donnerait presqu’envie de prendre de l’âge, tant elle rayonne et semble sûre d’elle. Au printemps suivant, en plein Festival du Film, elle accorde sa première interview d’ambassadrice beauté dans l’une des chambres de l’hôtel Martinez (devenu depuis Grand Hyatt Cannes Hôtel Martinez). Personne, parmi les privilégiés présents ce jour-là, n’a oublié le moment. Juchée sur des talons à la hauteur vertigineuse, glissée dans une robe noire dos nu, Julianne Moore hypnotise. Avec un naturel désarmant, elle avoue être nerveuse à l’idée d’être là pour L’Oréal Paris. Paradoxal pour celle qui, après plus de 50 longs métrages, n’est toujours pas blasée et rêve encore de rôles à explorer, de personnages auxquels donner vie, de risques à prendre en toute conscience. Lorsqu’on l’interroge justement sur le film qui lui a demandé la plus grande métamorphose beauté (coupe de cheveux, maquillage et look), elle répond sans hésiter : « « A single Man », de Tom Ford. La métamorphose était stupéfiante tout au long du film. » Havana, c’est elle « Maps to the Stars », le dernier Cronenberg, pointe du doigt - et sans concession - le système hollywoodien. Drame intense où cohabitent la corruption, la manipulation et la destruction (voire l’autodestruction), il réunit John Cusack, Robert Pattinson, Mia Wasikowska et Julianne Moore. Elle est Havana, cliente d’un psychothérapeute et comédienne rêvant de reprendre le rôle qui a fait connaître sa mère, aujourd’hui décédée. Mais, entre la figure maternelle qui l’obsède et cette envie malsaine, Havana va se perdre. Julianne Moore démontre, une fois de plus, l’étendue de son é g é r i e 30 November 2012 : the beauty world learned that L’Oréal Paris had a new face. Her name ? Julianne Moore. A stunning woman in her fifties, so radiant and confident she almost makes ageing seem appealing. The following spring, in the midst of the Cannes Film Festival, she gave her first interview as beauty ambassador at the Hôtel Martinez (since become the Grand Hyatt Cannes Hôtel Martinez). A moment none of those lucky enough to be there has forgotten. Perched on sky-high heels, sheathed in a backless black dress, Julianne Moore mesmerizes. With disarmingly natural charm, she admits she is nervous about being there for L’Oréal Paris. Paradoxical for someone who, after more than 50 feature films to her name, still hasn’t become blasé and still dreams of roles to explore, characters to bring to life, and risks to take with fullawareness. When asked about the film that required the most dramatic physical Sur le tournage de « Maps to the Stars » de David Cronenberg Mars Distribution D.R.
chaumet.com Louis Julian et Fils CHAUMET JOAILLIERS à CANNES depuis 1862 71 RUE D'ANTIBES - 06400 CANNES - +33 (0)4 93 39 30 68 COURCHEVEL 1850 - SAINT-TROPEZ WW W.BIJOUTERIE-J U LIAN.COM « Double Je » par Marine Vacth PARIS 9, boulevard de La Croisette - Cannes



Autres parutions de ce magazine  voir tous les numéros


Liens vers cette page
Couverture seule :


Couverture avec texte parution au-dessus :


Couverture avec texte parution en dessous :


Martinez numéro 12 2014/2015 Page 1Martinez numéro 12 2014/2015 Page 2-3Martinez numéro 12 2014/2015 Page 4-5Martinez numéro 12 2014/2015 Page 6-7Martinez numéro 12 2014/2015 Page 8-9Martinez numéro 12 2014/2015 Page 10-11Martinez numéro 12 2014/2015 Page 12-13Martinez numéro 12 2014/2015 Page 14-15Martinez numéro 12 2014/2015 Page 16-17Martinez numéro 12 2014/2015 Page 18-19Martinez numéro 12 2014/2015 Page 20-21Martinez numéro 12 2014/2015 Page 22-23Martinez numéro 12 2014/2015 Page 24-25Martinez numéro 12 2014/2015 Page 26-27Martinez numéro 12 2014/2015 Page 28-29Martinez numéro 12 2014/2015 Page 30-31Martinez numéro 12 2014/2015 Page 32-33Martinez numéro 12 2014/2015 Page 34-35Martinez numéro 12 2014/2015 Page 36-37Martinez numéro 12 2014/2015 Page 38-39Martinez numéro 12 2014/2015 Page 40-41Martinez numéro 12 2014/2015 Page 42-43Martinez numéro 12 2014/2015 Page 44-45Martinez numéro 12 2014/2015 Page 46-47Martinez numéro 12 2014/2015 Page 48-49Martinez numéro 12 2014/2015 Page 50-51Martinez numéro 12 2014/2015 Page 52-53Martinez numéro 12 2014/2015 Page 54-55Martinez numéro 12 2014/2015 Page 56-57Martinez numéro 12 2014/2015 Page 58-59Martinez numéro 12 2014/2015 Page 60-61Martinez numéro 12 2014/2015 Page 62-63Martinez numéro 12 2014/2015 Page 64-65Martinez numéro 12 2014/2015 Page 66-67Martinez numéro 12 2014/2015 Page 68-69Martinez numéro 12 2014/2015 Page 70-71Martinez numéro 12 2014/2015 Page 72-73Martinez numéro 12 2014/2015 Page 74-75Martinez numéro 12 2014/2015 Page 76-77Martinez numéro 12 2014/2015 Page 78-79Martinez numéro 12 2014/2015 Page 80-81Martinez numéro 12 2014/2015 Page 82-83Martinez numéro 12 2014/2015 Page 84-85Martinez numéro 12 2014/2015 Page 86-87Martinez numéro 12 2014/2015 Page 88-89Martinez numéro 12 2014/2015 Page 90-91Martinez numéro 12 2014/2015 Page 92-93Martinez numéro 12 2014/2015 Page 94-95Martinez numéro 12 2014/2015 Page 96-97Martinez numéro 12 2014/2015 Page 98-99Martinez numéro 12 2014/2015 Page 100-101Martinez numéro 12 2014/2015 Page 102-103Martinez numéro 12 2014/2015 Page 104-105Martinez numéro 12 2014/2015 Page 106-107Martinez numéro 12 2014/2015 Page 108-109Martinez numéro 12 2014/2015 Page 110-111Martinez numéro 12 2014/2015 Page 112