L'INSTITUTRICE « SOCIÉTÉ DES NATIONS D. - Ce Mussolini, c'est la tiarte tête de la classe ! (Life, New-York.) LE FUTUR CHANCELIER ALLEMAND (Le phonographe répète : « Nous voulons... Nous devons... Nous allons »). (Lustige Blaetter, Berlin.) LA SITUATION DANS LA RUHR STRESEMANN. - Êtes-vous contente, enfin? Vous y êtes, cette fois, sur les charbons de la Ruhr... MARIANNE. - Oui, sur des charbons... ardents! (ll Traçaso, Rome.) Celui de Poincaré. CAUCHEMARS LE RIRE A L'ÉTRANGER ÇA, C'EST ANGLAIS LE POLICEMAN. - Je réprouve entièrement le cambriolage. Mais j'espère ton tel )Is que vous vous conduirez vis-à-vis de moi en gentleman et que vous me donnerez une part de votre butin. (Siinplieissiinus, Munich.) L'ENTENTE TERRIBLE (Life, New-York.) 4 CAK~~ LA. FIN DE LA RÉSISTANCE PASSIVE L'ALLEMAND. - J'adhère à votre décision, de mon plein gré et spontanément. (Il Pasquino, Turin.) Ì I APRÈS LE MATCH CARPENTIER-BECKETT L'ALLEMAND. - Ils sont extraordinaires, ces Anglais ! Chez eux, les vaincus aussi empochent la forte somme. (London Opinion. Londres.) LES DOMINIONS PRÉFÈRENT UNE NOURRITURE PLUS SUBSTANTIELLE LE LION. - Maintenant, mes enfants, je suis sûr que vous allez vous régaler avec ces beaux fruits secs. LE CHOEUR DES LIONCEAUX.- De la viande, s'il vous plaît! (Punch, Londres.) Celui d e John Bull. (Kladderadatsch, Berlin.) — Pourquoi donc avez-vous fait couper la queue de votre chien? - Parce que ça m'embêtait de la voir remuer quand venait ma belle-mère. • (Passing Show, Londres.) 1 |