— Tiens, petit, voici 5.000 marks : 'cours vite m'acheter des fleurs. DETTES DE GUERRE Comme toujours, la France, la Belgique et l'Italie se défilent, et c'est encore le contribuable anglais qui sera dupe. (Bulletin, Glascow.) LA SAGE-FEMME. - C'est un garçon. LE roETE, très occupé. — Demandez-lui ce qu'il veut. (Passing Show, Londres.) LE RIRE A L'ÉTRANGER PROPAGANDE FRANÇAISE — Reste là et exécute bien mes — Attention ! les voilà ! ordres : dès que ces ales gosses reviendront, tu prendras un cliché. JOHN BULL. - Réveille-moi, frère, dès qu'il y aura une nouvelle Conférence. L'ONCLE SAM. - Penses-tu ! Moi je dors jusqu'à ce qu'il y ait de nouveau des usines de guerre.. (Simplicissimus, Munich.) POINCARÉ A DE L'APPILTIT MUSSOLINI. - Laissons-le seul : il se contentera d'un tout petit morceau. JOHN `BULL. - Oui, mais l'appétit vient en mangeant. (Il 420, Florence.) L'ARROGANCE TURQUE'Une légère ponction suffit pour qu'elle crève. (Times, Denver.) tkto Vingt-quatre heures plus tard, les journaux reproduisent une superbe photographie avec la légende suivante : « Les jeunes Allemands offrent des fleurs aux officiers français, en reconnaissance de leur paternelle affection. » (Simplicissimus, Munich.) LA CONFÉRENCE DE LAUSANNE Ou LE BAIN TURC MUSTAPHA KEMAL, en masseur. — Lorsque vous. aurez bien transpiré, messieurs, je serai à votredispos i tion. (Punch. Londres.) LA NOUVELLE MÉTHODE Allons ! dis-le que tu veux rentrer chez ta mère... — Oh ! non, je vais simplement lui téléphoner de venir ici. (Bulletin, Sydney.) |