[24] Vivre en Périgord n°60 aoû/sep 2020
[24] Vivre en Périgord n°60 aoû/sep 2020
  • Prix facial : gratuit

  • Parution : n°60 de aoû/sep 2020

  • Périodicité : trimestriel

  • Editeur : Conseil Général de la Dordogne

  • Format : (315 x 470) mm

  • Nombre de pages : 8

  • Taille du fichier PDF : 1,7 Mo

  • Dans ce numéro : la Dordogne, destination plébiscitée par les français cet été.

  • Prix de vente (PDF) : gratuit

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2 TROPHÉES DU DÉVELOPPEMENT DURABLE : DÉPÔT DES CANDIDATURES PROLONGÉ JUSQU'AU 6 SEPTEMBRE Pour répondre à l’urgence écologique (changement climatique, perte de la biodiversité, appauvrissement des populations…), des objectifs dits de développement durable ont été fixés à l’échelle internationale et européenne. Le Département a voulu apporter sa pierre à l’édifice en décernant des Trophées du développement durable pour mettre en valeur des porteurs de projets innovants. Pour s’inscrire dans la démarche, les candidatures de collectivités, d’entreprises ou d’associations doivent prendre en compte le développement durable dans ses trois dimensions (l’environnement, l’économie, le social), promouvoir des pratiques exemplaires et encourager la conduite du changement. La remise des trophées aura lieu à l’automne, dans le cadre de la Semaine européenne du développement durable. Le dépôt des candidatures peut se faire jusqu’au 6 septembre via la plateforme dédiée : perigorddurable.dordogne.fr. L’avenir durable de notre département Visuel s’écrit pour avec les tous contributions les Périgourdins sans images! du 2020 VIVRE EN PÉRIGORD LE MAGAZINE DU CONSEIL DÉPARTEMENTAL 2 rue Paul-Louis-Courier CS 11200 24019 Périgueux Tél : 05 53 02 20 20 www.dordogne.fr PLUS D'INFOS SUR : WWW.DORDOGNE.FR LES CHEMINS DES PÊCHEURS : DES PARCOURS ET UN GUIDE POUR DÉCOUVRIR LA VALLÉE DE L’ISLE Version pastille Depuis plusieurs années, de nombreuses actions ont été engagées en faveur des activités de pleine nature sur la Vallée de l’Isle, notamment en bord de rivière avec l'ouverture de la servitude de marchepied et l'aménagement de parcours dédiés à la pêche. Les élus et services du Département ont travaillé avec la fédération départementale de pêche pour développer le loisir pêche. Ainsi, un projet a abouti à la mise en place d’un parcours « famille » à Neuvic et un parcours « passion » de Douzillac à Saint-Martin-l’Astier. Cette labellisation sur l’Isle vient conforter l’offre touristique sur ce territoire. Dans le même du temps, un topo guide « les sentiers des pêcheurs » est édité permettant de découvrir nos cours d’eau, rivières, DORDOGNE-PERIGORD pratiques de pêches, poissons, paysages par la marche et avec l’expérience du pêcheur. terre Ce d’excellence guide est et de disponible progrès à la Maison Départementale du Tourisme (25 rue Wilson à Périgueux), à la fédération départementale de pêche et dans les Offices de Tourisme. 2020 DORDOGNE-PERIGORD terre d’excellence et de progrès MAISON DÉPARTEMENTALE DES SPORTS : DE NOUVEAUX LOCAUX À L'HORIZON 2021 Située rue Kléber à Périgueux, l’actuelle Maison départementale des sports est une véritable ruche, bien à l’image de la richesse des activités sportives en Dordogne et du soutien que leur accorde la collectivité départementale. Accueillant déjà la Direction des sports du Département, le Comité Olympique et Sportif et plusieurs comités départementaux, le site va connaître une nouvelle jeunesse. Désormais, deux nouveaux bâtiments, contigus au bâtiment actuel permettront d’agrandir le site (l’ancienne Trésorerie municipale et un garage attenant). « Une excellente nouvelle » pour Christelle Boucaud, vice-présidente en charge de la jeunesse et des sports. « C’est un projet qui nous tient à cœur, au service du développement des sports et des pratiques sportives sur tous nos territoires. On va pouvoir accueillir de nouveaux comités, travailler encore mieux ensemble et gagner en surface de stockage, sans parler de l’amélioration des conditions de travail de nos équipes. » Un temps suspendus pour cause de Covid 19, les travaux ont repris de plus belle pour une livraison à l’horizon début 2021. LA CUISINE DU PÉRIGORD SE DÉGUSTE DANS « PETITS PLATS EN ÉQUILIBRE » Dépôt légal à parution N°ISSN : 17790700 Directeur de publication Germinal Peiro Co-directeur de publication Jeannik Nadal Directeur de la communication : Matthieu Druillole Secrétaire de rédaction : Sophie Cabanel Création, mise en page : Vincent Perez L'ACTUALITÉ EN PÉRIGORD Tout l’été, la Dordogne est à l’honneur sur TF1, dans l’émission « Petits Plats en Équilibre », présentée par Laurent Mariotte. 40 séquences ont été réalisées avec les produits du Périgord. Ces émissions, dont le tournage a été accueilli avec le soutien du Département de la Dordogne, du Comité Départemental du Tourisme de la Dordogne et des Vins de Bergerac, sont diffusées en juillet et août avant et après les JT de 13h et 20h de TF1. Parmi les recettes proposées : le magret de l’été, la tarte aux noix du Périgord, l’Aquitaine Burger, le carpaccio d’aiguillettes de canard, le chaud-froid de faisselle de brebis aux abricots, le melon au granité de Monbazillac, le cheese cake au chèvre frais... JARDINER AU NATUREL : ACCOMPAGNER LES PARTICULIERS DANS UNE DÉMARCHE ENVIRONNEMENTALE Pendant la période de confinement, toutes celles et ceux qui avaient la chance d’avoir un jardin en ont profité pour s’occuper de leur petit espace vert. Le Conseil départemental s’est engagé dans une démarche environnementale avec le fauchage raisonné des bas-côtés des routes et des sites du Département, puis avec la charte Zéro pesticide à destination des communes de la Dordogne. Désormais, les guides « Jardiner au Naturel » s’adressent aux particuliers pour les accompagner dans cette même préoccupation de préservation de la biodiversité. Il s’agit d’apporter quelques conseils simples pour apprendre à jardiner de façon plus naturelle, en bannissant l’usage des pesticides et des engrais chimiques dans son jardin, sur sa terrasse ou dans ses jardinières… Retrouvez ces vidéos et fiches conseils sur le site internet du Département : dordogne.fr DE THIVIERS À L’ÎLE D’AIX, BONNE BALADE SUR LA FLOW VÉLO ! Sur près de 290 km tout en douceur, la Flow Vélo traverse la campagne verdoyante des départements de la Dordogne, de la Charente et de la Charente-Maritime. Inaugurée le 9 juillet dernier, cette véloroute est une invitation au voyage, en mode slow tourisme, particulièrement adapté aux itinérances en famille. En Dordogne, la Flow Vélo vous conduira à la découverte des prairies d’orchidées du Parc naturel régional Périgord-Limousin, de l’artisanat d’art à Nontron ou du foie gras à Thiviers, en passant par la cité médiévale de Saint-Jean-de-Côle. Dans un cadre souvent bucolique, c’est un parcours diversifié, sécurisé et labellisé qui répond à une forte volonté commune des trois Départements de promouvoir un mode de déplacement doux. Cette offre supplémentaire participe ainsi à l’attractivité de nos territoires et mobilise de nombreux professionnels : hébergeurs, loueurs, restaurateurs, réparateurs de cycles, offices de tourisme, sites touristiques et de loisirs... UN OUVRAGE SUR « LA DORDOGNE DANS LA SECONDE GUERRE MONDIALE » Sous la direction de Bernard Lachaise et d’Anne-Marie Cocula, tous deux universitaires, professeurs émérites à l’Université de Bordeaux Montaigne et Périgourdins, une douzaine d’historiens et chercheurs livrent, en 350 pages, une histoire globale de la période complexe de l’Occupation dans notre département. Le Conseil départemental, à travers le soutien qu’il apporte au Centre départemental de la Mémoire Résistance et Déportation de la Dordogne, a souhaité manifester l’attachement qu’il porte à tous ceux qui ont combattu, au péril de leur vie, l’occupant nazi et ses tentatives d’asservissement. En publiant cette histoire de « La Dordogne dans la Seconde Guerre mondiale », ses auteurs font œuvre de mémoire, au nom du principe que « celui qui ne connaît pas son passé est condamné à le revivre ». Publié aux éditions Fanlac, l’ouvrage « La Dordogne dans la Seconde Guerre mondiale » est disponible dans toutes les librairies et en ligne sur fanlac.com au prix de 29 €. Photos (sauf mention) : Denis Nidos Rédaction : Matthieu Druillole, Sophie Cabanel, Jérome Riboulet, Laurent Fabre. Impression : Agir Graphic Imprimé sur papier Condat
L'ACTUALITÉ EN PÉRIGORD Le Conseil d’Etat vient de rendre sa décision concernant le volet judiciaire du contournement de Beynac. Alors que plus de 40 millions d’euros sont en jeu, Vivre en Périgord a souhaité interroger Serge Parre, nouveau Maire de Beynac, élu dès le 15 mars dernier avec l’ensemble de sa liste. Serge Parre, en tant que nouveau Maire de Beynac, comment avez-vous accueilli la décision du Conseil d’Etat ? Extrêmement mal. Il s’agit d’une décision dramatique pour notre commune, pour notre vallée et pour la population. La situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui est totalement incompréhensible et la grande majorité des habitants est très en colère contre l’Etat. Je rapelle tout de même que toutes les autorisations avaient été accordées par les différents services de l’Etat pour permettre la réalisation de ce chantier et qu’à une dizaine de reprises le Tribunal Administratif de Bordeaux avait débouté les opposants. Aussi quand le Conseil d’Etat a, en décembre 2018 et de façon totalement inattendue, suspendu l’arrêté préfectoral autorisant les travaux, nous avions compris que le chemin restant à parcourir pour voir l’achèvement de cette déviation serait plus long que prévu. Pour vous, cette décision ne marque-t-elle pas la fin du projet ? Absolument pas. Bien sûr, c’est une étape qui s’achève, celle du processus judiciaire. Nous sommes respectueux de l’État de droit et nous en prenons acte, même si nous L'ACTUALITÉ DE VOTRE DÉPARTEMENT EN TEMPS RÉEL : @cddordogne BEYNAC, DE L’INJUSTICE AU SCANDALE D’ÉTAT Sans même avoir pris la peine d’étudier le dossier sur le fond et sans qu’aucun magistrat n’ait pris la peine de se déplacer sur le site, les juges du Conseil d’Etat ont décidé le 29 juin dernier de rejeter la requête du Département, condamnant les Périgourdins à jeter à la poubelle plus de 40 millions d’euros. Cette décision est incompréhensible sur la forme : elle vient contredire 36 ans de procédures et dix décisions du Tribunal administratif. En effet, depuis les premières acquisitions de terrains en 1982, le Conseil départemental avait patiemment obtenu toutes les autorisations et feux verts permettant à la Préfète de la Dordogne, représentante de l’Etat dans le département, de signer le 29 janvier 2018 l’arrêté autorisant le début des travaux. Alors qu’à dix reprises le Tribunal Administratif de Bordeaux avait rejeté les requêtes des opposants, le 28 décembre 2018, soit onze mois après le début des travaux, le Conseil d’Etat suspendait le chantier en rendant alors un jugement basé sur des éléments valables au moment où les pourvois en cassation des opposants avaient été déposés, c’est-à-dire sans tenir compte des travaux réalisés ! Le Conseil d’Etat entérine aujourd’hui les décisions qu’il avait lui-même insufflées sur ces bases complètement bancales auprès du Tribunal Administratif et de la Cour Administrative d’Appel de Bordeaux, ceci – il faut le répéter – sans véritablement examiner le dossier sur le fond. Ainsi, l’Etat a sciemment choisi de se placer dans une situation aussi incohérente que contradictoire. Le Premier Ministre Edouard Philippe (dont on rappelle qu’il préside le Conseil d’Etat) avait en effet confirmé, dès le 6 mars 2018, l’arrêté préfectoral autorisant les travaux ainsi que l’ensemble des avis favorables rendus par les commissions et ministères concernés. Le Président de la République avait lui-même assuré, le 19 juillet 2018 à Périgueux, que le problème de Beynac était « réglé ». Quelques mois plus tard, suite au revirement de la justice administrative, le gouvernement faisait le choix de ne pas défendre son propre arrêté auprès d’elle. Il y a là, de toute évidence, une part d’irrationnel inexplicable autrement que par d’obscures motivations politiciennes. Cette décision de justice, quoique habilement motivée en droit, reste totalement indéfendable sur le fond. Les ENTRETIEN AVEC SERGE PARRE questions de sécurité (risque falaises, densité du trafic, danger pour les cyclistes et les deux roues, impossibilité d’ouvrir les portes des bus de tourisme et des cars scolaires dans la traverse…), de pollution (visuelle, sonore, de l’air) du site – l’un des plus beaux de France – restent entières. La protection de l’environnement, mise en avant par la justice administrative, se retrouve au final tout simplement massacrée par sa décision. Non seulement l’atteinte aux habitats des espèces protégées a été extrêmement minime, mais les compensations environnementales prévues, d’une ampleur et d’une qualité exceptionnelles, ne pourront être mises en œuvre afin d’améliorer la situation de la nature sur ce territoire ! Pire, l’injonction de démolition conduira à détruire les travaux réalisés et à laisser au final le site dans un état dégradé par rapport à ce qu’il était avant le début du chantier. Quant à la voie verte, elle ne pourra voir le jour. Hallucinante, la République marche sur la tête Elle marche aussi contre la volonté des élus du département qui, depuis 1982 et jusqu’à récemment, ont toujours approuvé ce projet de façon unanime, contre l’avis de la population sollicité par un référendum organisé en 1995 (83 % de votes favorables) et contre le choix des RASSEMBLEMENT CITOYEN POUR LA RÉALISATION DU CONTOURNEMENT DE BEYNAC À L'INITIATIVE DE L'ASSOCIATION "J'AIME BEYNAC ET SA VALLÉE" DIMANCHE 13 SEPTEMBRE 2020 À 9H30 À BEYNAC LE NOUVEAU MAIRE DE BEYNAC EN APPELLE AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE estimons qu’elle est frappée du sceau de l’injustice. D’autres étapes suivront. Avec l’ensemble de mes collègues élus du Conseil municipal, nous allons continuer à chercher des solutions pour que cette déviation se fasse. Les Beynacois nous ont aussi élus pour cela puisque, dans notre programme, nous avions clairement exprimé notre volonté de soutenir la poursuite des travaux. La justice a pris une décision par rapport à un dossier en particulier mais notre volonté reste intacte. Je rappelle aussi que le risque falaises est malheureusement toujours bien présent et que notre premier devoir en tant qu’élus de Beynac, c’est d’assurer la sécurité de nos concitoyens. Nous ne comprenons pas que cette priorité n’ait, à aucun moment, été prise en compte par la justice administrative depuis son revirement. C’est pour le moins étonnant… Pourquoi tenez-vous tant à cette déviation ? En tout premier lieu, pour des questions de sécurité. Je l’ai dit, le risque falaises est toujours présent et les vibrations causées par le passage des camions font courir un risque d’éboulement avéré. Tout le monde doit savoir que les services de l’Etat ont classé en zone rouge ce secteur dans le cadre du Plan de Prévention des Risques, c’est-à-dire que les risques d’éboulements y sont forts. Nous ne voulons pas vivre à Beynac le même drame que celui que nos voisins de La Roque Gageac ont connu en 1957. Mais ce n’est pas tout. Il est également impératif de sécuriser les bus, notamment scolaires, qui traversent le village quatre fois par jour, les automobilistes, les cyclistes et les piétons. Ceux qui refusent cette déviation sont, soit des inconscients, soit des fatalistes. En tout état de cause, j’espère qu’ils n’ont pas peur de porter sur leurs épaules la responsabilité d’un drame potentiel. L’un des principaux objectifs de cette déviation, c’est aussi de permettre d’améliorer et préserver le cadre de vie de nos habitants qui sont confrontés aux pollutions et nuisances inhérentes au passage de tant de véhicules. Et il y a aussi un aspect économique non négligeable. Nous électeurs, le 15 mars dernier, de porter à la tête des quatre communes concernées des élus favorables au contournement. Opaque, l'Etat fait main basse sur la démocratie, en décidant de suivre les requêtes déposées par une poignée d’opposants défendant des intérêts strictement individuels. Le Conseil départemental de la Dordogne prend acte de la décision du Conseil d’Etat qui, selon une logique qui lui est propre mais qui échappe au commun des mortels, tourne le dos au bon sens et à l’intérêt général. Poursuivant l’ambition de répondre aux attentes des Périgourdins et des habitants de la vallée de la Dordogne, soucieux de préserver le bon usage de l’argent public, il continuera de tout mettre en œuvre pour faire valoir ses droits et défendre ses intérêts face à une injustice aussi flagrante. Rarement la République n’aura à ce point méprisé les collectivités territoriales sur un projet pourtant reconnu - de façon irrévocable - d’utilité publique. Face à un tel scandale démocratique, le Département entre aujourd’hui en résistance afin de faire triompher le bon sens et dénoncer les accointances entre le lobby des châtelains fortunés et certaines personnalités du monde politique. savons que le sud de notre département a besoin d’un axe de circulation moderne le long de la vallée entre le Lot et Bordeaux pour améliorer les déplacements et les échanges mais il serait irresponsable de sacrifier pour cela notre village, un des plus beaux de France. Sans parler de l’aspect touristique avec une voie verte qui nous manque tant et qui n’est réalisable que sur la rive gauche de la Dordogne. Est-ce pour cette raison que vous avez écrit au Président de la République ? Oui. Il fallait que le Président Macron sache que la population de Beynac mais aussi celle des trois autres communes concernées par la déviation ont élu des équipes municipales ouvertement favorables à la déviation et qu’au contraire, les candidats opposés à ce projet ont été battus. C’est pourquoi, j’ai souhaité l’inviter à venir se rendre compte sur place du projet et de son état d’avancement, ce que les juges ont malheureusement refusé de faire. Je suis convaincu qu’il est encore possible de trouver une solution pour éviter de gaspiller 40 millions d’euros d’argent public ! A fortiori dans une période où notre pays durement touché par la Covid-19 ne peut pas se le permettre ! Le bon sens et le respect de la démocratie doivent l’emporter. Qu’attendez-vous désormais ? J’espère une mobilisation massive des Périgourdins pour soutenir l’intérêt général face aux intérêts particuliers de quelques-uns. J’espère que celles et ceux qui étaient contre cette déviation se rendront compte que dépenser autant d’argent pour rien est une ineptie et que la destruction des ouvrages construits constitue un non-sens écologique. Pour finir, j’espère l’union sacrée des Périgourdins pour défendre un projet d’intérêt général, un projet reconnu d’utilité publique, un projet d’excellence environnementale et au-delà, tous futurs projets qui iraient dans le sens de l'amélioration de la vie quotidienne, et qui trouvent systématiquement face à eux une opposition qui se pare de fausse écologie pour faire passer les intérêts particuliers en premier. 3

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