Je vous ramène au milieu des années 90. A l'époque où le film d'action était un style à part entière dans sa plus pure expression. Quand les gros bras n'avaient pas peur de s'exprimer de toute leur puissanc•.0 1993• - et le grand Arnold Schwarzenegger (je ne l'écrirai qu'une fois merci !) est à l'apogée de sa carrière cinématographique. Les succès de ses derniers films notamment Terminator 2 ont poussé l'acteur en tête des stars les mieux payées au monde. Toujours à la recherche d'un nouveau défi Schwarzy se lance dans une parodie de ses films d'action. A la direction monsieur John Mc Tiernan le réalisateur de Predator (avec notre autrichfflik Benedict possède une collection assez farfelue pour son oeil de verre interchangeable. edette) et Piège de Cristal, bref du lourd dans l'action grand spectacle. Le jeune Danny est fan de Schwarzy lui-même (oui, oui) et de son rôle de Jack Slater, un flic indestructible dont les films sont des suites de faits héroïques incroyables. Le projectionniste ami avec le gamin lui donne un ticket de ciné magique qui va le projeter dans le film. Tout aurait été pour le mieux si le sale type de l'histoire, Benedict, ne récupérait le dit-ticket pour partir à son tour dans le Los Angeles prend garde, Slater est dans la place I monde réel afin lire se débarasser du héros, ou son acteur (Schwarzy, oui vous avez suivi !). Le film va donner lieu à des situations assez cocasses où le personnage va chercher à protéger l'acteur qui le joue tout en découvrant à ses dépens que le monde réel est bien différent : on ne conduit pas sans les mains, on doit recharger son arme et un coup de poing...ça fait mal ! Ajoutons à ça des clins-d'oeil aux films d'action (il faut les avoir vus), des répliques imparables au second degré et vous comprenez que Schwarzy a pris un pied énorme à malmener le personnage qui lui collait à la peau. N'oublions pas une bande-son bien heavy : AC/DC, Megadeth, Tesla, Anthrax... Osvald |