par le pays du Soleil Levant durant la seconde guerre"'mondiale. En effet, ici tout ne sera que ruines et chaos, car tel un un Attila des temps modernes, là où Godzilla passe, l'herbe (et les buildings) ne repousse(nt) pas. Et bien que les effets spé ciaux puissent aujourd'hu paraître archaïques, il n'esont pas moins d'une grand qualité pour l'époque. Le maquettes sont nombreuse et travaillées, chaque bâti ment ou véhicule dispose de sa petite finition aboutie, un vrai travail d'orfèvre. Le monstre féroce, quant à lui, est représenté de manière correcte, et pour un film des années cinquante, le résultat est là. Ainsi, voir Tokyo partir en fumée sous les assauts de la bête géante est un vrai délice pour les amateurs du genre. Le film sent donc la destruction et le malheur qui ne sont pas sans faire penser au affres de la guerre. Car s'il y bien un mal être qui transpire tout au long du scénario, c'est celui de la bombe atomique et de ses méfaits. On peut donc considérer ici Godzilla comme une métaphore du mal effectué par les catastrophes atomiques subies à cette époque, ravageant sans pitié ni distinction. Ili n'en reste pas moins que le résultat final est un film dequalité devenu culte aujourd'hui, et dont le monstre principal este devenue une véritable référence aussi bien culturelle que cinématographique. Enkidou Les effets spéciaux sont des plus réussis. Les maquettes bénéficient d'un d'un soin particulier qui n'ont rien à envier aux productions plus récentes. Ogata, humans are weak animais. Even if I burn my notes, the secret will still be in my head. Until I die, how can I be sure I won't be forced by someone to make the device again ? " Dr. Serizawa La légende du dragon rouge De Jing Wong Après avoir évoqué le Prince du Tibet dans le dernier RGMag, nous parlons encore une fois d'un film avec des artistes martiaux. C'est donc Jet Li l'acteur principal de ce long métrage qui, après avoir découvert toute sa famille exécutée, s'empressera d'aller les venger à l'aide de son jeune fils qu'il initie aux arts martiaux. Soyons clair d'entrée de jeu, la VF du film est catastrophique, à l'image de tous ces films made in HK. Passé cela et son scénario du pauvre, les scènes de combats sont à l'image de ce qui pouvait se faire de mieux à l'époque. Donc adepte de Jet Li, de la lance, des coups pieds improblables, des scènes kitches et de la castagne made in China, vous pouvez matter ce film au moins une fois. R ETFI O G EEKMR