» > TEST 50• HD magazine Sony HDR-HC1 on aurait aimé un écran à cristaux liquides un peu plus grand : là, il n’est pas toujours évident de faire le point, surtout en HD ! diagonale de 6,9 cm, et sa résolution est assez faible – comme vous pouvez vous en rendre compte sur les photos – puisqu’elle ne dépasse pas les 123 000 pixels. Le viseur bénéficie quant à lui d’une résolution de 250 000 pixels, plus à même de retranscrire d’éventuels défauts de l’image (notamment une mise au point approximative). Sur le côté de l’écran, on retrouve, comme sur l’ensemble de la gamme Sony, des commandes de zoom et d’enregistrement. Une ergonomie typée « grand public » A l’usage, la prise en mains du HDR-HC1 nous semble excellente pour un caméscope de poing. L’appareil, bien équilibré, intègre des commandes placées judicieusement sur le corps de l’appareil. Elles sont facilement accessibles sans pour autant gêner la prise de vue. Les boutons en façade restent d’ailleurs relativement peu nombreux, la plupart des réglages ne pouvant s’effectuer qu’en passant par les menus. A l’avant de l’appareil, la bague de l’objectif permet de jouer au choix sur la focale du zoom ou la mise au point. Le passage d’un mode à l’autre s’effectue via un commutateur placé sur le corps de l’objectif lui-même. Ce même commutateur permet de passer du les menus cachent de nombreux réglages. sony semble avoir trouvé le bon compromis entre richesse fonctionnelle et simplicité mode autofocus à une mise au point manuelle. On regrette l’absence d’une touche « push auto » pour basculer momentanément en mise au point automatique. Cela d’autant plus que la haute définition rend cette opération critique puisque le moindre flou devient nettement (sic) plus visible qu’en DV. Pour palier la difficulté, Sony a intégré à son appareil une fonction Expanded Focus que l’on active en appuyant sur un bouton situé également sur l’objectif. Elle effectue un zoom numérique temporaire de l’image, pendant 5 secondes, juste le temps d’ajuster précisément la mise au point. Au quotidien, cette aide à la mise au point se révèle précieuse, d’autant que l’autofocus nous a paru un peu lent, voire franchement poussif en basse lumière. |