Comportement Comportement In e « mvi » cprnt enfr e « bn » alors refuser de s’accoupler, avoir un intérêt sexuel pour un individu du sexe opposé d’une autre espèce, ne pas savoir comment procéder à la saillie... Incapacité d’exprimer ses besoins sexuels, conséquence d’un stress. Cela peut relever du lieu qui peut être trop grand, trop bruyant ou avec trop de chiens ou d’humains à proximité. Cela peut aussi être du à la présence d’un propriétaire tyrannique intrusif. Certains s’en sortiront bien si les humains les laissent seuls avec leur « moitié », mais d’autres ne pourront jamais établir de rapports normaux avec un individu de sexe opposé. Cela peut également relever de la pathologie ou du physique. Par exemple, une mauvaise ouverture de l’urètre, un pénis insuffisant ou trop important, une insuffisance du développement testiculaire, une hypothyroïdie ou une hypotestoteronisme qui font chuter la libido, un usage excessif d’anabolisants qui va diminuer le taux de testostérone, un hermaphrodisme, un âge avancé générant des douleurs dues aux articulations douloureuses... Ne pas oublier que la prise de traitements médicamenteux peut être à l’origine d’une modification du comportement sexuel. Certaines femelles peuvent avoir du retard dans leurs chaleurs. Cela peut provenir d’un environnement stressant, d’une cohabitation avec une chienne ayant un taux hormonal élevé, d’un déséquilibre alimentaire ou d’une pathologie. Il arrive qu’un chien refuse de s’accoupler avec un partenaire mais pas d’autres... parce qu’eux aussi peuvent avoir leurs préférences ! 46 - Animaux pratique n°1 Un environnement « dénaturé » peut amener notre compagnon à des comportements sociaux perturbés... Enfin, n’oublions pas qu’être en mesure de se reproduire (les organes génitaux étant tout à fait opérationnels) sans en avoir la possibilité peut être mal vécu. Un comportement à caractère sexuel n’est donc pas à exclure systématiquement. L’homme fait vivre son compagnon à quatre pattes dans des conditions artificielles qui le rendent totalement dépendant de son bon vouloir. Cet environnement « dénaturé » peut l’amener à des comportements sociaux perturbés... En conclusion Pour faire cesser ces comportements déplacés, il convient de comprendre les raisons précises qui en sont à l’origine. En attendant, la personne visée doit simplement se soustraire à ses chevauchements en se détournant calmement de l’animal. Il est fortement déconseillé de sanctionner cette attitude, aussi déplaisante soit-elle. Une réaction agressive serait totalement incompréhensible pour le chien car il se retrouverait puni d’être mal à l’aise ! Contact : Victoria Chasle Castillo Comportementaliste Sites : www.1001comportements.com 1001comportements.overblog.com Formatrice de comportementalistes http://www.rhafael.com Tél. : 06 81 42 88 20 O’n pa’m e gr s c C’est au « chevauché » de signifier au chien qu’il refuse ce comportement en l’ignorant calmement |